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« Le PLQ doit renouveler son offre politique, mais aussi sa façon de faire la politique. Et nous ne pouvons pas nous permettre d’être minés par des intrigues internes dont les Québécois se moquent», a-t-il déclaré lundi matin lors d’une conférence de presse à Montréal. Après un résultat électoral désastreux pour son parti politique, Dominique Anglade est restée. Mais la pression s’était accrue ces derniers jours pour qu’il abandonne le navire libéral, à la suite d’une tentative avortée de ramener dans le giron la députée Marie-Claude Nichols, expulsée sans ménagement des Communes. Les anciens élus libéraux se sont rendus sur la place publique, jour après jour, pour critiquer son leadership et exiger sa démission. Dominique Anglade a admis que son parti politique a fait face à “un vrai vent contraire” lors de la dernière élection.
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« J’ai eu de nombreuses conversations avec nos candidats, nos élus, nos non-élus, nos militants, les personnalités respectées qui font partie de l’héritage libéral. Ma croyance en la pertinence et la nécessité d’un PLQ fort à l’Assemblée nationale demeure intacte. Les enjeux démographiques, culturels, socio-économiques et écologiques sont très importants pour déchirer l’opposition officielle”, a-t-il insisté, sans répondre aux questions des journalistes. Le caucus libéral doit se réunir aujourd’hui, puis l’exécutif du parti pour déterminer qui assurera l’intérim. Les noms de Marc Tanguay et André Fortin sont proposés pour remplacer Dominique Anglade à la tête du PLQ, en attendant une course à la chefferie. Même si c’est la règle depuis quelques années, nulle part dans les règles du PLQ il n’est écrit que le chef par intérim ne peut éventuellement se présenter à la direction. Dans l’état actuel du parti politique, qui ne compte qu’une vingtaine de membres, on ne peut se permettre d’écarter un candidat de qualité au poste de chef par intérim car il a l’ambition de briguer la tête des fugueurs, s’il vous plaît pharmacies.