Publié il y a 58 minutes, Mis à jour il y a 46 minutes “Je pars sans amertume personnelle et je n’ai aucun désaccord avec les candidats à la présidence : ce sont tous des amis”, affirme Jean-Luc Moudenc, le maire LR de Toulouse. Ulrich Lebeuf/MYOP ENTRETIEN EXCLUSIF – L’élu de la quatrième ville de France dénonce le “bagel” et la “correction” des Républicains. Jean-Luc Moudenc est maire de Toulouse, LR, la dernière des 10 plus grandes villes de France encore gouvernée par les républicains. LE FIGARO – Les candidats à la présidence de LR sont connus, pour qui allez-vous voter ? Jean-Luc MOUDENC. – Je ne vais pas voter, j’ai décidé de me retirer des Républicains. C’est une vieille idée pour moi, mais cette élection me donne l’occasion de la mettre en pratique. Je le fais sans discuter, ayant été un membre fidèle aussi longtemps que j’ai pu. J’ai alerté Annie Genevard et Aurélien Pradié, en sa qualité de chef de région, ce week-end, puis les administrateurs LR locaux. De quoi vous plaignez-vous, les candidats ou la ligne républicaine ? Qu’il soit bien entendu que je pars sans amertume personnelle et que je n’ai rien à redire aux candidats à la présidence : ce sont tous des amis. J’apprécie Éric Ciotti et sa stabilité démocratique face à l’insécurité endémique et l’incapacité de l’État à contrôler les dérives de l’immigration…
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