Isabelle Adjani n’est pas passée inaperçue sur le plateau de France 5. L’actrice a choisi un look inattendu pour son apparition dans C à toi, ce lundi. La star du 67 a justifié le port du masque, un modèle en coton à motifs, avec Anne-Elisabeth Lemoine et son équipe. Et il s’avère que l’actrice souffre. « J’essaie de coller aux couleurs de Diane, qui sont le noir et le blanc en raison d’une légère suspicion de bronchiolite, même si je ne suis plus un bébé, a-t-il expliqué sans rien cacher aux téléspectateurs. Ici, je suis sous cortisone, codéine pour traverser le spectacle. Référence à la manifestation de la bronchiolite, chez les enfants de moins de 2 ans. L’actrice de 73 ans était en tournage pour le lancement de sa nouvelle série Diane de Poitiers, réalisé par Didier Decoin. Elle tient le rôle principal de l’émission historique diffusée dans Salto, qui raconte la saga royale de Valois-Angoulême, en pleine Renaissance, avec une femme menant la lutte pour les honneurs. Diane de Poitiers est une chasseresse honoraire dont la beauté durable a alimenté rumeurs et légendes de son vivant… et longtemps après sa mort, rapporte Il a été distribué.

Isabelle Adjani : “J’ai vécu avec un acteur qui ne mettait jamais son costume dans la loge”

Dans C à toielle a confié ce qu’elle ressentait “Très bien en costumes d’époque”. « A mon avis, dans une vie antérieure, j’ai dû être une reine, une paria, une courtisane, un peu suiveuse, j’ai dû aller et revenir de Versailles. (…) J’ai vécu avec un acteur qui ne mettait jamais son costard dans la loge et c’est très spécial de vivre avec un personnage. Je ne veux imposer ça à personne.” Des mots qui en disent long sur sa relation passée. Interrogé également par magazine télévisé, Isabelle Adjani a profité de ce moment pour se remémorer sa relation avec les hommes. Pour l’actrice, si le mouvement MeToo était évidemment très important pour le bien-être des femmes dans la société, il a aussi eu des effets négatifs, notamment au niveau de la confiance en soi. “C’est une catastrophe! Je n’entends plus les hommes dire à une femme qu’elle est belle. C’est peut-être un des effets pervers de MeTooça m’énerve presque. J’y vois rarement de la spontanéité. Mais heureusement, le même MeToo était là parce que les femmes commencent à botter un peu à sens unique.” Côté cœur, Isabelle Adjani assume son célibat : “Parfois, nous nous arrêtons de faire les choses que nous aimons dans la vie pour que l’autre puisse respirer plus facilement. Il finit par respirer très bien et vous avez une bronchite ! Plus une femme s’aime et se rassure sur elle-même, moins elle peut tomber dans les pièges d’une forme de soumission.” C’est appelé!